Au fil des générations, la Caisse d’Epargne s’est inscrite dans le quotidien de chacune et chacun et dans les mémoires familiales. Au travers de la richesse de son patrimoine architectural, elle a marqué de son empreinte le cœur et le temps des villes. Elle fait partie de notre culture commune.

 

Ce n’est donc pas un hasard si la Caisse d’Epargne est souvent citée dans la littérature. Le 7e art lui fait également parfois honneur. Quelques exemples suffisent à mettre un coup de projecteur sur cette incursion - bien souvent passée inaperçue aux yeux du spectateur, - de la Caisse d’Epargne dans l’univers du cinéma.

 

 

Michel Audiard en 1972 dans Elle cause plus … elle flingue fait ainsi dire à Bernard Blier, en réponse à une volcanique Annie Girardot : « Je gagne quatre mille francs par mois... J'ai un livret d'Caisse d'Épargne, une carte bleue, cinquante pour cent d'réduction sur les Chemins d'Fer, bref... C'qu'on appelle un parti... Pas d'attendrissements, pas de larmes... du sourire... et tu dis oui ! ». 

 

 

Dans la très populaire Soupe aux choux en 1981, Louis de Funès, dans sa lettre à Francine, lui conseille de mettre l’argent qu’il lui lègue à la Caisse d’Epargne « où qu’ils feront des petits ».

 

En 1986, le film policier Poussière d’Ange, avec Bernard Giraudeau, a pour toile de fond une enquête menée sur un braquage commis à la Caisse d’Epargne.

 

En 1988 enfin, c’est Etienne Chatiliez qui, dans La vie est un long fleuve tranquille y fait également référence : « Tous tes frères et sœurs ont un livret de Caisse d’Epargne, c’est très pratique tu sais » explique la mère de la famille Le Quesnoy.

 

 

 

Nul doute que, spectateur attentif ou cinéphile passionné, vous croiserez encore la Caisse d’Epargne dans les salles obscures ou sur le petit écran….